bacterie.jpg L’apparition médiatisée d’une bactérie résistante met en évidence les difficultés d’une agriculture mondialisée, mais aussi une recherche pharmaceutique et biologique désarmée face à ce type de crise sanitaire.

 

Son rapide développement confirme l’importance de travailler à de réelles pistes alternatives dans le secteur de la recherche pharmaceutique et biologique.

 

Le PCF soutient depuis des années la nécessité de dégager la recherche, la production et la distribution de l’emprise financière qui nuit à la santé publique et au développement économique de notre pays, mais aussi à l’emploi et à son indépendance sanitaire !

 

Il nous faut créer un véritable service public de la recherche et du médicament pour que celui-ci devienne un bien commun universel. La France est affaiblie à l’aube d’une seconde révolution thérapeutique, celle des biotechnologies, des thérapies géniques, de la thérapie cellulaire, des bio-marqueurs et des traitements personnalisés. Depuis plusieurs décennies, les performances en matière d’innovation thérapeutique reculent.

 

Le développement d’un pôle public de la recherche, de la production et de la distribution du médicament permettrait une indépendance sanitaire et la mobilisation des compétences que recèle notre pays dans le domaine des sciences de la vie.